C’est ce que qu’une étude menée à permis de démontrer : Pour être heureux dans leur travail, les salariés français auraient besoin d’abord et avant tout, de reconnaissance. Face à un climat tendu dans l’univers de l’entreprise et ce dans de nombreux secteurs d’activité, ce résultat est fort de sens et ne fait que traduire un grand besoin chez les travailleurs.
Climat tendu au travail
Si de nombreux chiffres tendent aujourd’hui à indiquer que la crise pour toucher à sa fin, dans le monde du travail et plus précisément chez les salariés de manière globale, la qualité de vie au travail serait loin d’être bonne et tendrait même justement à se dégrader. Toujours plus de productivité demandée, toujours plus d’exemplarité attendue, toujours plus d’efforts… Pour autant, les salariés à qui l’on demande beaucoup, ne seraient pas reconnus suffisamment à leur goût puisque environ les trois quart d’entre eux ont exprimé le besoin de reconnaissance nette qu’ils aimeraient avoir de la part de leurs hiérarchies.
Plus que le salaire, le moral des salariés importeraient au quotidien
Si bien entendu le salaire est une motivation première pour un salarié, aujourd’hui, il apparaît que vouloir être à l’aise et heureux dans son travail devient un critère de plus en plus important et mis en avant par les travailleurs. Les français ne veulent plus non seulement bien gagner leur vie mais veulent aussi avoir la possibilité de se sentir bien dans leur job. Ce critère serait aujourd’hui aussi important dans la sélection d’un poste ou emploi, que le montant du salaire. Un signe fort envoyé envers les dirigeants et représentants managériaux du monde de l’entreprise.
Bien être au travail et reconnaissance
Les français aimeraient donc être beaucoup plus reconnus dans leurs jobs, être appréciés à leur juste valeur et se sentir bien au quotidien au bureau. Tandis que certains secteurs d’activité ont démontré récemment un grand intérêt et ont doucement intégrer des programmes pour permettre à des salariés de se détendre, avec par exemple la sophrologie ou la méditation, on peut tout à fait se demander ce qui pourrait être fait afin de permettre aux salariés de se sentir plus reconnus.
Une augmentation suffirait-elle ? Des signaux positifs de la part des managers envers les membres de leurs équipes seraient-ils une réponse ? Le fait est que les français ne prioriseraient plus seulement l’argent dans ce qui importe pour eux au travail, ce qui est une nouveauté.